Test – Forspoken

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Forspoken, un jeu qui a fait pas mal parlé de lui du a son ambition et ces reports. Et oui, depuis le Projet Athia en 2020 a Forspoken, il y a eu de la route pour un titre qui devait tiré tout le potentiel de la PS5 et en bonus une sortie PC. Pour cela, on retrouve le Luminous Studios, oui le studio derrière Final Fantasy XV. C’est donc tout naturel que l’on retrouve pour le titre une amélioration du Luminous Engine. 

Une histoire d’un autre temps.

Déjà vu et revu, le titre s’inspire largement de Alice au Pays des Merveilles au point même de le citer au début du jeu. Basiquement, on retrouve Frey, une orpheline qui tente de fuir sa vie actuelle pour prendre un nouveau départ et ainsi fuir son passé et ces problèmes avec la justice.

Un soir, elle va se retrouvé attiré par un bracelet abandonné qui la l’emmené dans un autre monde, Athia. Un monde ravagé par la brume et divers ennemis attaquant tout ce qui bouge. Rapidement, l’histoire va vous conduire à Cipal, la dernière ville existante. Place qui vous servira de hub central au passage.

Elle va aussi rapidement réaliser que son bracelet lui parle et lui offre des pouvoirs. Bracelet qu’elle va nommer Krav tout au long de l’aventure en se moquant de lui continuellement. Krav venant de Poukrav… Après, le bracelet va lui aussi lui répondre et s’en suivra des joutes verbales continuelles.

Ça passe ou non, mais Frey est une new-yorkaise. En gros, elle n’a pas sa langue dans sa poche et ça colle au personnage qui au fur et à mesure de l’aventure se voir changer petit à petit et s’adoucir. Autant dire que l’on découvre réellement le personnage de Frey qu’en avançant dans le jeu. Sans vous spolier, vous vous rendez compte que la route pour rentrer chez vous sera longue et manque de côté épique marquant. Ce qui est une tragédie tant le titre avait à offrir.

Athias, ton univers impitoyable. 

Six ans après Finale Fantasy XV, le Luminous Engine a évolué. Et si le Windows Édition du dernier titre était magnifique, Forspoken s’offre un rendu magnifique, mais qui demandera du côté des PC d’une configuration massive. Car vos différentes magies et rendu visuelle sont de petite claque tant tout rend bien.

La prouesse viendra surtout que Frey passera son temps à soit attaquer ou esquiver avec pas mal d’esquive aérienne ou les attaques à pleine vitesse. On prend vraiment du plaisir pendant les combats tant tout est beau et fluide.

La montagne, ça vous gagne. 

Comme dit plus haut, le titre est vaste et grand. Donc rapidement, vous allez débloquer des compétences de parcours. Au début, courir vite. Rapidement, grimper plus haut. Et à un moment et par habitude d’exploité les failles des murs, grimper partout où vous le souhaitez. On s’amuse vraiment à parcourir le monde d’Athia pour faire chaque point d’intérêt.

Finalement, on retrouve un titre complet et prenant. On a tout pour avoir un must have. Il faudra juste passer devant les premières heures de jeux ou Frey est agaçante au possible. Mais bon, pour le reste on se retrouve sur un titre qui manette en main est agréable et qui sur un bon écran donne une belle claque. On en redemande tellement que l’on espère une suite au titre tant il reste des choses à raconter.

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