Test – Ad Infinitum

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Nacon nous revient avec un ovni plonger dans l’horreur du nom de Ad Infinitum. Un titre qui va nous emmener tout droit dans la première guerre mondiale avec une narration qui en marquera plus d’un. 

L’enfer de la guerre. 

Quand on parle de la guerre, on a souvent en tête les deux guerres ayant touché notre pays. Et c’est logique tant il y a eu des choses horribles qui se sont passées. (Aucune guerre n’est joyeuse et sans reproche attention) Et Ad infinitum nous plonge dans le plus sordide possible au point de montrer quels sont les traumatismes que les survivants on du traverser et vivre avec. Autant dire, un jeu a ne pas mettre dans les mains de tout le monde.

Au niveau de son histoire, Ad Infinitum nous plonge dans une scène représentant les tranchées. Un passage qui va en rebuter plus d’un tant ce n’est pas ce que le titre nous présentera tout au long de notre aventure.

Car par la suite, on se réveille dans notre lit et dans la peau d’un enfant de famille aristocratique essayant de survivre à cette guerre. Ou du moins on pense que c’est cela. Car rapidement on se rend compte, le jeu est divisé en deux parties menant de plus en plus vers la folie.

Le jeu dans le jeu. La folie dans la folie. 

Ad infinitum vous demandera d’explorer le manoir Von Schmidt. C’est dans ce mode que l’on soufflera le plus et que l’on se fera surprendre avec les codes des jeux d’horreur. En gros, exploration et énigme en tout genre vous attendent. Simple part moment et parfois rotor. On se cassera souvent la tête à ne pas comprendre une énigme parfois simple.

Quant à l’autre partie du jeu, on se retrouve à la vue FPS avec un unique but : la survie. La mort vous y attendra souvent, trop souvent. Mais on ne ressent pas de frustration, car vous pourrez revenir à la vie via des lits disposer tout au long de votre survie.

Entre les QTE, les poursuites effrénées, le fait de devoir se cacher et se faufiler, tout est là pour montrer les codes de l’horreur de la guerre. Sauf que voilà, on se rend rapidement compte qu’une chose ne colle pas. Qu’il y a plus que deux jeux en un. Dans la partie FPS, on affronte des métaphores de la guerre, des monstres irréels. On ressent la lourdeur de l’horreur. La ou dans l’autre mode, on est plus dans le suggérer. On sent qu’il ne faut pas la voir ou se faire voir.

Ça pique parfois…

Bon, graphiquement, le titre est plutôt joli une fois la première partie passer. Ce qui est étrange, mais soit. Le titre n’est pas une claque next gen et pourtant dans son ensemble c’est assez convainquant.

Du côté de sa bande-son, elle est juste sublime et vient appuyer le jeu en lui-même. On est là sur un sans faute auditif ! Chose plutôt rare quand on regarde les autres jeux du genre.

Pour le reste, nous n’avons par chance pas eu de bug pendant nos longues sessions. Mais on notera que la traduction en parfois bancale au point d’en oublier même certaine phrase. Problème cependant facilement corrigible avec un patch. (peut être corrigé avec le patch Day one ? )

Finalement, que dire de plus, pour 35 euros, vous en avec pour pas mal d’heures et surtout une histoire prenante et pensante qui va vous donner envie d’en apprendre plus. Le Ad Infinitum réussis un presque sans faute et pour un prix super abordables quand on voit que les autres titres d’horreur aussi prenants sont vendus le double du prix. Autant dire que vous allez adorer vous faire peur. 

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