Après un énorme succès de Bravely Default sur Swtich puis sur d’autre support, Square Enix nous a fourni sur Switch par la suite. Puis maintenant sur d’autres supports. C’est le cas de ce test réalisé sur PC. Une version boostée de la version Switch.
Le retour du RPG Old School !
Sorti initialement en février dernier, Bravely Default II n’a pas réinventé la roue et reprend tout ce qui avait fait le succès du premier titre en corrigeant ces erreurs. On prend enfin du plaisir du début à la fin avec peu de fausses notes. On est ici sur une lettre d’amour envers une saga qui a marqué une génération sur 6 épisodes. On parle bien sure de Final Fantasy. Car Bravely Default II est enfin le reflet de ce qu’il aurait dû être dès le premier épisode.
Le système de combat reprend de son côté les mécaniques passées avec d’un côté Brave qui permet de faire divers combos en sacrifiant les tours suivant. Tandis que Default permet de se protéger et au passage offrir plus d’action dans les prochains tours. Si dit comme ça, cela donne mal à la tête. En réalité, cela offre pas mal de profondeur et de possibilités de gameplay. Par la suite, le système de leveling sera assez classique avec la possibilité de créer ces propres build de personnage. Un personnage spécialisé sur la magie par exemple pourra aussi bien avoir autant de force qu’un guerrier même si ce n’est pas le meilleur choix.
Pour ne pas sombrer dans le classique à outrance, Bravely Default II proposera d’autres jobs originaux qui offriront encore plus de possibilités en combat.
Une pépite du genre.
En dehors de tout cela, le titre a fait de gros efforts sur ces menus et autres afin d’offrir encore plus d’ergonomie et de possibilité sans pour autant être surchargé tout est la et facilement navigable et on prend du plaisir a farfouillé l’encyclopédie. Ce qui en sera de même pour les informations en combat qui ne surchargeront pas les informations visuelles. Autant dire un must visuel. Le titre est ce que tous les RPG devraient être.
Finalement, Bravely Default II est ce que l’on aurait aimé voir dès le début. Il n’innove pas des masses. Mais reste un des meilleurs du genre.
